Avec plus d’un million de visiteurs par an, le Musée des Beaux-arts de Montréal a fait sa part de travail pour que le plus grand nombre possible ait accès à du grand Art. En plus des expositions de toute sorte, le musée s’est fermement engagé à utiliser une technologie capable de mettre l’art à la disposition du public sur Internet en plus de son calendrier d’événements bien chargé. Dès que son système de gestion de messagerie électronique et de calendrier a commencé à créer des pannes néfastes affectant sa performance quotidienne, le musée s’est tourné vers G Suite/Workspace pour trouver une solution.

Il y a des événements chaque jour. Qu’il s’agisse d’une location d’espace ou d’une exposition, il y a toujours quelque chose. Si le système tombe en panne, il n’est plus possible d’imprimer les billets et personne n’a accès au calendrier. Tout doit se faire à la main.

La stabilité du Cloud, la flexibilité de plateformes multiples…

Le Musée des Beaux-arts de Montréal est le musée le plus fréquenté au Canada et a besoin d’une horlogerie de précision pour fonctionner. Les outils de gestion de messagerie électronique et de calendriers sont des outils collaboratifs clé pour son personnel composéde 300 personnes. Au début de l’année 2017, la solution de collaboration en place au musée était sujette à des contraintes, et pâtissait de pannes fréquentes qui perturbaient le calendrier événementiel. Comme si cela ne suffisait pas, peu nombreux étaient les spécialistes capables de réparer un système particulier, si bien que le musée n’avait d’autre choix que de prolonger les périodes d’indisponibilité jusqu’à ce que l’on puisse trouver l’ingénieur compétent.

 

En mars 2017, le musée s’est tourné vers le seul partenaire Google francophone également expert des solutions infonuagiques pour mettre en place un nouveau système de productivité. Ensemble, ils ont choisi G Suite/Workspace pour sa convivialité et sa rentabilité. Avec le calendrier Google, le personnel du musée est en mesure de programmer des dates, de vérifier le calendrier événementiel et de faire le suivi des salles à partir d’une simple interface. Les employés du musée ont très bien vécu la transition vers Gmail qui est la plus simple du monde. Cela est dû à ses principes de conception clairs et à ses fonctions simples et pratiques, telles que la sauvegarde automatique des brouillons. Après la formation initiale fournie par S&E Cloud Experts, le musée a identifié les utilisateurs assidus de G Suite qui formeraient les quelques 300 employés restants.

 

Avec G Suite, on peut utiliser le système sur n’importe quelle plateforme. Les autres systèmes ne fournissent pas cette flexibilité aux utilisateurs de Mac qui ne sont pas habitués aux mêmes systèmes que les utilisateurs de Windows ou Android, etc. Google est le seul à prendre en charge toutes les plateformes sans perdre en capacité

 

Pas d’interruption de service, pas de problèmes!

Depuis la migration qui a eu lieu en mars, le musée n’a connu aucune panne avec Workspace et peut espérer une saison estivale sans souci et pleine de succès. Grâce à la prise en charge de plateformes multiples offerte par Workspace, le personnel du musée est en mesure d’accéder aux emails et aux rendez-vous fixés dans le calendrier sur n’importe quel dispositif et à n’importe quel moment. En transférant le système de messagerie électronique à Workspace, le département informatique du musée fut en mesure d’économiser des coûts d’infrastructure significatifs ainsi que des ressources de réseau importantes sans compromettre la rapidité. Le musée le plus fréquenté au Canada envisage désormais les solutions de stockage Cloud offertes par Google Drive afin d’optimiser ses opérations et pouvoir desservir une clientèle grandissante.

Avec G Suite, pas d’ interruption de service à signaler. Les contraintes sur l’infrastructure interne sont éliminées. , Le stress pour le département informatique et le gestionnaire de réseau qui devaient autrefois expliquer l’arrêt forcé des serveurs et leur indisponibilité aux entreprises. Google se charge de tout.


Cliquez ici pour lire l’article original

Cliquez ici pour retourner à la page d’actualités